La voici donc maintenant sur le blog, en bonne définition, pour la personne qui me demande par mail si je suis bien l'auteur de cette illustration !
 | ||||
| La bataille de Saint- Aubin. Acrylique . Format raisin. |
samedi 17 novembre 2012
Saint-Aubin du Cormier
Voici une image que j'avais créée pour rendre hommage aux nations présentes à la bataille de Saint-Aubin du Cormier, avec une légende écrite en quatre langues. Elle fait partie de la collection des cartes postales historiques éditées par Ogham éditions, de Heiligenberg.
La voici donc maintenant sur le blog, en bonne définition, pour la personne qui me demande par mail si je suis bien l'auteur de cette illustration !
La voici donc maintenant sur le blog, en bonne définition, pour la personne qui me demande par mail si je suis bien l'auteur de cette illustration !
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Vos travaux me font penser aux illustrations d’artistes irlandais. Ils poussent à la rêverie, à la nostalgie aussi. Je suis bluffé par la justesse du trait, par la franchise des couleurs, et pour tout dire par leur perfection.
RépondreSupprimerMarc, c'est le 1er ou le 13 du mois que j'aurais dû réagir. Pour une remarque de base : il y a pour moi une énigme (résolue) entre le Mosnier du fusain et le Mosnier de la couleur. Couleur souvent primaire et avec dessin réaliste. Voyons donc. Quand noir, blanc et leurs dosages (plutôt que nuances) sont seuls, s'y ajoute une incroyable rêverie, s'y soustrait plutôt car elle reste dans le reste, dans la couleur (euh je ne sais pas si on me suit encore): cf les fusains.
RépondreSupprimerBref, dans la vie, on rêve en combattant et le contraire. Ça se nourrit l'un l'autre, c'est un des secrets que nourrit aujourd'hui le mot : "Celte".
Superbe scène, les couleurs sont effectivement magnifiques mais ce sont les expressions des personnages qui me fascinent le plus, on peut "aisément" ressentir la détermination et la rage de vaincre du premier personnage barbu en haut à gauche, ainsi que la douleur du personnage se situant sous le barbu. On croirait assister à la scène.
RépondreSupprimerUn grand merci pour vos commentaires élogieux !
RépondreSupprimerPour ma part, je préfère le noir et blanc, la couleur atténuée, la bichromie , le camaïeu. C'est une interprétation qui donne toujours plus de puissance à l'image car elle fait tendre celle-ci vers l'abstraction, par la force des choses.